Cette discussion a vocation à échanger, débattre et questionner sur la mise en œuvre de projets au sein de l’association.
Certains membres ne sont pas à l’aise avec l’idée de groupe de travail fixes avec des grandes thématiques dans lesquels les gens viennent et partent juste pour siéger et discuter une fois par mois. La contre proposition consiste à offrir aux membres un cadre pour impulser et mener des projets. Des travaux réguliers et permanents (exemple ; plaidoyer, hotline juridique) et des projets à durée limitée (concevoir une réponse à tel besoin). Nous souhaitons que les groupes d’actions puissent disposer de budgets pour des éventuels investissements ou pour rémunérer certains de leurs contributeurs-trices. L’idée est qu’un groupe d’action c’est UN.E PILOTE qui obtient mandat, UN BUDGET et UN OBJECTIF à 6 mois. Ensuite le groupe s’autogère et adopte ses propres modalités de gouvernance et de gestion de projet.
Les budgets de l’association sont limités, les pilotes peuvent donc être invité à solliciter et récolter des fonds complémentaires pour pouvoir développer les projets.
Si les demandes des groupes d’actions sont au delà du budget disponible, une modalité de priorisation se met en place, un cobudget ou une technique de gouvernance budgétaire relativement ouverte équivalente qui permet une allocation des montants disponibles rapide et cohérente avec les envies des membres de l’association.
Dans une note du 11 avril. Trois membres de l’association esquisse une autre proposition pour les groupes de travail. Point 3 de LA NOTE EN LECTURE
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[Sujet 1 : Le lien avec le GIP - rôle de l’association et impacts sur sa propre gouvernance.]
[Sujet 2 : Processus d’accueil, la question du refus de membre et celle de la catégorisation (collèges)]
[Sujet 3 : Projets et productions ; mandats, moyens et rétributions]
[Sujet 4 : Les statuts.]
[Sujet 5 : Réglement intérieur.]