Cet article issu de 5 années d’expériences à Florence nourrit ma conviction que l’apprentissage s’enrichit par la collaboration décentralisée et que la collaboration est soutenue par des espaces adaptés. La raison d’être des tiers lieux pourrait ainsi émerger plus clairement : soutenir le développement de communautés d’apprentissages, et ainsi devenir des accélérateurs de transformation sociale, village par village. Cet article est complété par un document visualisable en ligne qui décrit toute la démarche en détail. Magnifique travail de “documentation” de ce bien commun immatériel.